Ancestral rituals and collective memory

Tsuyu Bridwell draws inspiration from ancestral beliefs and rituals, expressing the force and fragility of life, while also questioning superstitions associated with these.

Working across media, she uses traditional crafts from Japan, Korea, and France to create installations and sculptural objects that confront questions of collective memory and the representation of Nature.

Her production is centred around the replication of multiple objects, an adherence to traditional craft, and an aesthetic exigence in her works—all of which contribute to a sentiment the artist develops to focus her intention. She presents intricate natural subjects to create a contemporary phantasmagoria: The Danse of the Cocoons, Sentôchô (thousand-butterfly suspension), a school of jellyfish, spiderwebs, mineral sculptures…

Born in Tokyo to a Korean father and Japanese mother, Tsuyu studied dance and music at the Centre de danse international Rosella Hightower in Cannes, France. She went on to study drama and theater at the Conservatoire National Supérieur d’art dramatique de Paris, working some years as an actor. Her career in the performing arts has enriched her work as a visual artist, facilitating an organic flow of expression between her pieces and their audience.

Her monumental installations are spectacular and provoke a meditative visual experience. Her works initiate the viewer to a magnified world of Nature’s wonders and the delicate equilibrium of an ecosystem of force, fragility, beliefs, and human desires.

Rites ancestraux et mémoire collective

Tsuyu Bridwell puise son inspiration dans les croyances et rites ancestraux qu’elle décline pour exprimer la fragilité et la puissance de la vie. Elle interroge la nécessité du rituel et réinterprète les manifestations superstitieuses chez les hommes.

A travers une palette variée de medium, elle s’empare des techniques de l’artisanat traditionnel japonais, coréen et français pour créer des installations et des objets sculpturaux qui confrontent des questions de mémoire collective et de la représentation de la nature.

La production de son travail est centrée autour de la multiplication d’objets, l’adhésion à l’artisanat trditionnel et l’exigence esthétique de chaque œuvre. Tous ces éléments contribuent à dégager une certaine émotion que l’artiste exploite pour exprimer son intention. Tout comme la nature, vecteur d’idées dont elle s’inspire pour créer une vision contemporaine de fantasmagorie : La danse des cocons, Sentôchô (suspension de millier de papillons), banc de méduses, toiles d’araignée, sculptures de minéraux…

Née à Tokyo en 1967, de père coréen et de mère japonaise, Tsuyu Bridwell étudie la danse et la musique au Centre de danse International Rosella Hightower à Cannes, puis le théâtre au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Sa carrière dans le spectacle vivant en tant qu’actrice et son expérience scénique enrichissent son travail visuel, facilitant un passage fluide d’expressions entre ses œuvres et le public.

Ses installations spectaculaires et monumentales provoquent une expérience visuelle et méditative. Son univers ouvre un regard sur un monde magnifié des merveilles de la nature nous révélant l’équilibre délicat de l’écosystème, entre force, fragilité, croyances et désirs des hommes.